Au fil du temps, la RSE est devenue une norme de valeurs internes à l’entreprise pour guider la prise de décision et pour pouvoir évaluer les actions ayant un impact positif par rapport aux impacts négatifs déjà supposés. Des dizaines d’initiatives et de réglementations, tant publiques que privées, ont envahi le tissu économique mondial et des concepts familiers tels que les rapports sur la responsabilité sociale ont commencé à apparaître.
S’il est vrai qu’à ses débuts, la RSE ne s’intéressait pas trop aux concepts environnementaux, l’arrivée du XXIe siècle et la prise de conscience des grands problèmes environnementaux, tels que le changement climatique, la pollution de l’environnement et la perte de biodiversité, les ont progressivement fait siennes et il est entendu que les questions environnementales font partie de la RSE.
La voie vers la GSE
Si la RSE a commencé à jeter les bases du changement, c’est la nécessité de mesurer, d’évaluer et de rendre compte qui a définitivement changé les règles du jeu. C’est là qu’interviennent les critères sociaux, de gouvernance et environnementaux (ESG). Aujourd’hui, la responsabilité sociale des entreprises va au-delà de leurs portes, puisqu’elles doivent comprendre, analyser et atténuer les impacts qui se produisent en amont et en aval de leur processus. Pour ce faire, il est essentiel de connaître sa chaîne de valeur et de la rendre responsable. Pour ce faire, il était nécessaire de créer une norme de mesure, et pas seulement des principes, qui permettrait de mesurer, d’analyser, de comparer et d’exiger des réductions, des compensations ou des atténuations. Les critères ESG sont l’ensemble des critères permettant de mesurer votre alignement sur les principes sociaux de votre entreprise et sur les principes, objectifs et cibles que la réalité a mis sur la table (principes des Nations unies, objectifs et cibles du développement durable). Ce qui était autrefois un objectif de responsabilité sociale devient aujourd’hui un objectif de durabilité et de stratégie à triple impact : social, environnemental et économique.
Au fil du temps, la RSE est devenue une norme de valeurs internes à l’entreprise pour guider la prise de décision et pour pouvoir évaluer les actions ayant un impact positif par rapport aux impacts négatifs déjà supposés. Des dizaines d’initiatives et de réglementations, tant publiques que privées, ont envahi le tissu économique mondial et des concepts familiers tels que les rapports sur la responsabilité sociale ont commencé à apparaître.
S’il est vrai qu’à ses débuts, la RSE ne s’intéressait pas trop aux concepts environnementaux, l’arrivée du XXIe siècle et la prise de conscience des grands problèmes environnementaux, tels que le changement climatique, la pollution de l’environnement et la perte de biodiversité, les ont progressivement fait siennes et il est entendu que les questions environnementales font partie de la RSE.